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Channel: Actualités des Hospices Civils de Lyon
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Un site web pour mieux comprendre le cancer

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A propos du cancer
Parce que la survenue de la maladie suscite de nombreuses questions, les Hospices Civils de Lyon lancent aproposducancer.fr, un site pédagogique pour vous apporter des réponses simples et validées par des médecins experts.

Qu’est-ce que le cancer ? Comment le dépiste-t-on ? Comment la maladie se développe-t-elle ? Quels sont les traitements ou encore comment vit-on avec un cancer ?... Autant de questions qui s’imposent à nous lorsque le mot est prononcé. En quatre rubriques, ce mini-site voulu simple et didactique pour être accessible à tous, répond aux questions essentielles qui entourent la maladie, depuis les tout premiers signes jusqu’à l’accompagnement psychologique et social.

Les textes ont été rédigés par des médecins experts de l’Institut de Cancérologie des Hospices Civils de Lyon. Plusieurs vidéos-interviews thématiques agrémentent également le site pour aller plus en profondeur sur certains sujets complexes ou en lien avec des préoccupations majeures des patients, comme la prévention et le dépistage, le caractère potentiellement héréditaire de certains cancers ou encore la préservation de la fertilité.

Le site aproposducancer.fr a été réalisé avec le soutien institutionnel de Roche.

A propos du cancer

Avec 14 000 patients dont 8 500 nouveaux cas chaque année, les Hospices Civils de Lyon s’imposent comme l’un des acteurs majeurs du cancer dans la région. Centre intégré de recherche, de soins et d’enseignement, le CHU de Lyon prend en charge les patients atteints de tous types de cancers, à tous âges de la vie, et est expert du traitement des tumeurs rares et complexes.
Prise en charge du cancer


Une salle de bloc hybride dernier cri à l’hôpital Louis Pradel

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Une toute nouvelle salle de bloc opératoire hybride à ouvert à l’hôpital Louis Pradel. Cette salle, équipée grâce au soutien de la Fondation HCL, avec des équipements de pointe dernière génération, est une première française !

Depuis le 16 juillet 2018, l'hôpital Louis Pradel est doté de la première salle hybride de grande ampleur en France.
L'ouverture de cette salle de bloc opératoire nouvelle génération est accompagnée de l'arrivée d'une partie de l'équipe de chirurgie vasculaire de l'hôpital Edouard Herriot

La salle hybride a pour but de permettre aux équipes de chirurgie vasculaire de l'hôpital Louis Pradel de pratiquer leur activité de recours dans un cadre technologique optimum et des locaux entièrement neufs.
Cette opération emblématique intervient, en effet, dans le cadre du projet de revitalisation de l'hôpital Louis Pradel, mais aussi grâce au soutien de la Fondation HCL qui a permis le financement de l'équipement de la salle hybride. 

Durant l'été, une partie des membres de l'équipe de chirurgie vasculaire de l'hôpital Edouard Herriot vont progressivement rejoindre l'hôpital Louis Pradel.
La nouvelle organisation de la chirurgie vasculaire au sein des Hospices Civils de Lyon va ainsi se décliner de la manière suivante : 

  • A l'hôpital Edouard Herriot : 

    • 14 lits pour prendre en charge :
      • La chirurgie artérielle et veineuse urgente et non-programmée des membres inférieurs
      • La chirurgie ambulatoire (varices, fistules artério-veineuse, dilatations artérielles...)
    • Au sein du trauma center avec un bloc opératoire entièrement neuf comprenant une salle hybride.

 

  • A l'hôpital Louis Pradel :

    • 12 lits dédiés à :
      • La chirurgie aortique complexe
      • La chirurgie carotidienne
      • Les procédures endovasculaires complexes
      • La chirurgie du sportif (endofibrose)
    • Permettant de profiter de l’environnement cardiovasculaire, endocrinologique et neurologique du site et d’une salle hybride dernière génération.

Congrès de cancérologie de l'ASCO: les grandes avancées

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Le congrès de l’ASCO, qui s’est tenu à Chicago en juin, a rassemblé les plus grands experts mondiaux de la cancérologie. Les oncologues HCL ont pointé les évolutions importantes lors d'une conférence.

Le congrès de l’ASCO (American society of clinical oncology) s’est tenu à Chicago du 1er au 5 juin et a rassemblé près de 40000 personnes, dont les plus grands experts mondiaux de la cancérologie. Plus de 5000 communications ont été proposées, sur tous les types de cancers. De nombreux médias ont repris – et parfois simplifié – quelques avancées majeures notables. Les oncologues HCL ont souhaité faire le point et ont pointé les évolutions importantes.

L’immunothérapie en progression

Une trame générale se dégage de ce congrès : le boom de l’immunothérapie se poursuit avec de nouvelles molécules ou associations prometteuses. C’est le cas pour le cancer du rein, le lymphome ou le myélome, par exemple.

Pour le cancer du poumon, des études ont montré l’efficacité de l’immunothérapie seule pour certains types de patients (environ un tiers). Chez les autres patients, c’est l’association d’une immunothérapie à une chimiothérapie qui semble, pour le moment, la stratégie la plus intéressante.

Même conclusions pour le cancer du rein : deux molécules d’immunothérapie prises ensemble se révèlent plus efficaces que le traitement standard (un anti-angiogénique, qui bloque la croissance de la tumeur).

Cancer du rein

Une étude française « CARMENA » a étudié l’équivalence de deux stratégies dans le cancer du rein métastatique : une chirurgie suivie d’un traitement anti-angiogénique, d'une part, et une stratégie sans chirurgie, uniquement un traitement anti-angiogénique, d'autre part. Conclusions : les deux stratégies sont équivalentes et la chirurgie peut être considérée comme une option chez les patients atteints de certains cancers rénaux métastatiques. Dans tous les cas, la chirurgie ne doit pas retarder la mise en place du traitement anti-angiogénique par comprimés. En revanche, la chirurgie reste le standard du traitement chez les autres patients, notamment les patients non métastatiques.

Cancer ORL

Traite-on différemment les femmes atteintes de cancer ORL que les hommes ? C’est la question que se sont posée des médecins ORL américains. Une étude rétrospective a montré que les femmes atteintes de cancers ORL avaient une moins bonne espérance de vie que les hommes. En réalité, les femmes et les hommes ne sont pas concernés de manière identique. Les femmes sont davantage touchées quand elles sont jeunes (et il s’agit souvent de cancers de la bouche ou de la langue, de mauvais pronostic ; on ne s’explique d’ailleurs pas ces cas en hausse actuellement) ou lorsqu’elles sont âgées (mauvais pronostic, là aussi).

Inversement, les cancers de la gorge, touchant surtout les hommes, sont encore causés par le tabac et l’alcool, mais aussi, de plus en plus et partout dans le monde, par le HPV (papillomavirus, virus faisant partie des maladies sexuellement transmissibles). Ce cancer-ci est de meilleur pronostic que ceux causés par le tabac ou l’alcool. Les femmes ne sont donc pas moins bien soignées. Elles sont malheureusement surtout touchées par des cancers plus agressifs.

Une autre étude rétrospective américaine a analysé s’il était possible de diminuer les risques de séquelles liées au traitement du cancer ORL. Elle a démontré une survie semblable entre la chirurgie seule et la chirurgie combinée à la chimiothérapie et/ou la radiothérapie, sur des cancers débutants, avec un ou aucun ganglion atteint.

Cancer du sein

Menée aux Etats-Unis, une étude sur le cancer du sein a largement fait parler d’elle. Intitulée « TAILORx », elle visait à vérifier si, chez les femmes atteintes de « petits cancers » (tumeur de moins de 5 cm sans atteinte des ganglions), il était possible de se passer de chimiothérapie après la chirurgie. Le traitement habituel de ces cancers consiste en une chirurgie du sein suivie d’une chimiothérapie et d’une hormonothérapie. Aujourd’hui, on sait que l’étude des gènes de la tumeur permet de définir trois groupes de patientes : celles ne nécessitant pas de chimiothérapie ; celle le nécessitant et un groupe intermédiaire pour laquelle la stratégie n’est pas claire. C’est dans ce groupe intermédiaire que l’essai TAYLORx a comparé deux stratégies : l’association chimiothérapie et hormonothérapie ou l’hormonothérapie seule. Les conclusions ont montré le même taux de survie. Attention, cette étude s’est penchée uniquement sur des cancers de bon pronostic et chez des femmes de plus de 50 ans. Ses résultats ne signifient pas que la chimiothérapie ne sera plus prescrite, mais ils démontrent que les analyses génétiques de la tumeur sont particulièrement intéréssantes.

Cancer digestif

Une étude, menée en France, « PRODIGE 24 », s’est intéressée au cancer du pancréas, souvent de mauvais pronostic. Chez les 30% des patients opérables, une chimiothérapie est habituellement proposée dans les suites. L’étude a comparé la chimiothérapie de référence actuelle à une association de trois molécules de chimiothérapie. Le résultat est sans appel, puisque la survie est passée de 35 mois à 54 mois avec cette nouvelle association ! Cette nouvelle chimiothérapie va probablement devenir le nouveau traitement standard applicable dans le monde entier...

Centre intégré de recherche, de soins et d’enseignement, le CHU de Lyon prend en charge les patients atteints de tous types de cancers, à tous âges de la vie, et est expert du traitement des tumeurs rares et complexes.

Une salle de bloc hybride dernier cri à l’hôpital Louis Pradel

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Hospices Civils de Lyon
Une toute nouvelle salle de bloc opératoire hybride a ouvert à l’hôpital Louis Pradel. Cette salle, équipée grâce au soutien de la Fondation HCL, avec des équipements de pointe dernière génération, est une première française !

Depuis le 24 juillet 2018, l'hôpital Louis Pradel est doté de la première salle hybride de grande ampleur en France.
L'ouverture de cette salle de bloc opératoire nouvelle génération est accompagnée de l'arrivée d'une partie de l'équipe de chirurgie vasculaire de l'hôpital Edouard Herriot

La salle hybride a pour but de permettre aux équipes de chirurgie vasculaire de l'hôpital Louis Pradel de pratiquer leur activité de recours dans un cadre technologique optimum et des locaux entièrement neufs.
Cette opération emblématique intervient, en effet, dans le cadre du projet de revitalisation de l'hôpital Louis Pradel, mais aussi grâce au soutien de la Fondation HCL qui a permis le financement de l'équipement de la salle hybride. 

Durant l'été, une partie des membres de l'équipe de chirurgie vasculaire de l'hôpital Edouard Herriot vont progressivement rejoindre l'hôpital Louis Pradel.
La nouvelle organisation de la chirurgie vasculaire au sein des Hospices Civils de Lyon va ainsi se décliner de la manière suivante : 

  • A l'hôpital Edouard Herriot : 

    • 14 lits pour prendre en charge :
      • La chirurgie artérielle et veineuse urgente et non-programmée des membres inférieurs
      • La chirurgie ambulatoire (varices, fistules artério-veineuse, dilatations artérielles...)
    • Au sein du trauma center avec un bloc opératoire entièrement neuf comprenant une salle hybride.

 

  • A l'hôpital Louis Pradel :

    • 12 lits dédiés à :
      • La chirurgie aortique complexe
      • La chirurgie carotidienne
      • Les procédures endovasculaires complexes
      • La chirurgie du sportif (endofibrose)
    • Permettant de profiter de l’environnement cardiovasculaire, endocrinologique et neurologique du site et d’une salle hybride dernière génération.

Conférence débat « Séniors : être vigilant face au cancer »

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09 octobre 2018
Mairie du 7e arrondissement, salle des mariages, 16 place Jean Macé, 69007 LYON
L’UCOGIR Au-RA Ouest - Guyane, en association avec la Ville de Lyon, organise une conférence-débat afin d'évoquer l’intérêt du diagnostic précoce du cancer chez les personnes âgées.

Manifestation organisée dans le cadre de la semaine bleue, du 8 au 14 octobre 2018, et de la campagne d’information régionale « Il n’y a pas d’âge pour se faire soigner du cancer ».

Une semaine pour prendre son coeur en main

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24 septembre 2018
29 septembre 2018
Hôpital Louis Pradel et hôpital de la Croix-Rousse
information importante
La Fédération Française de Cardiologie Val de Rhône organise des portes ouvertes du 24 au 28 septembre de 10h à 17h à l'hôpital Louis Pradel et à l'hôpital de la Croix-Rousse notamment. Tous les ateliers sont sans rendez-vous et les dépistages sont offerts à tous.

La Fédération Française de Cardiologie met en avant le concept de prévention lors de La Semaine du Coeur

Elle propose une opération d’envergure qui regroupe dans toute la France une centaine d’actions, organisées par les associations régionales et ses Clubs Coeur et Santé. Cette semaine a pour objectif d’apprendre au plus grand nombre à se protéger contre les facteurs de risques cardio-vasculaires.

L’équipe médicale de la Fédération Française de Cardiologie Val de Rhône animera des ateliers de dépistages, prévention. Elle réalisera des tests et mesures pour mieux connaître son risque cardio-vasculaire : tension artérielle et fréquence cardiaque ; cholestérol ; glycémie ; taux de CO dans l’air expiré et conseils à l’arrêt du tabac ; tests de forme physique ; nutrition et conseils diététiques. Des initiations aux gestes qui sauvent seront proposées pour apprendre les 3 gestes essentiels pour sauver une vie : appeler, masser, défibriller.

La Prévention primordiale : 7 critères pour rester en bonne santé cardio-vasculaire

La prévention primordiale repose sur une approche récente populationnelle, récemment développée aux Etats-Unis par l’association américaine de cardiologie AHA. Située en amont de la prévention primaire, elle vise à favoriser l’adoption d’une bonne hygiène de vie pour tenir éloignés les facteurs de risques cardio-vasculaires. Pour viser une santé optimale, 7 critères volontairement simples sont à respecter :

• Pratique d’une activité physique régulière (30 minutes quotidiennes),
• Alimentation variée et équilibrée,
• Aucune consommation de tabac depuis plus de 12 mois,
• Pression artérielle inférieure à 140/90 mmHg.
• Indice de Masse Corporelle (IMC) compris entre 18,5 kg/m2 et 25 kg/m2
• Glycémie inférieure à 126 mg/dl,
• Taux de cholestérol total inférieur à 200 mg/ml

« La prévention primordiale s’appuie sur une volonté politique et de larges campagnes d’information » estime le Pr Claire Mounier-Vehier, Présidente de la Fédération Française de Cardiologie. « Nous devons agir sur les comportements d’hygiène de vie. La prévention primordiale sous-tend l’éducation à la santé en milieu scolaire, au travail et tout particulièrement auprès des populations les plus précaires souvent en rupture de soins. Nos messages lors de la Semaine du Coeur s’inscrivent dans cette logique, en valorisant un mode de vie sain et équilibré, à travers de nombreuses actions destinées au grand public. »

La Fédération Française de Cardiologie lutte contre les maladies cardiovasculaires depuis plus de 50 ans. Association financée uniquement grâce à la générosité du public, reconnue d’utilité publique depuis 1977, elle est présente partout en France. Ses quatre missions : la prévention, la recherche en cardiologie, l’accompagnement des patients cardiaques et la promotion des gestes qui sauvent. Infos sur www.fedecardio.org

En savoir plus sur la prise en charge des cardiopathies aux HCL :
Retrouvez dans l'"Espace santé", accessible dès la page d'accueil de notre site, des fiches pratiques concernant les pathologies prises en charge aux HCL, ainsi que les traitements associés proposés.
Récemment mis en ligne :
- Bradycardie, bloc auriculo ventriculaire, dysfonction sinusale
- Cardiogénétique, cannalopathies, maladies cardiaques héréditaires
- Extrasystolie ventriculaire
- Fibrillation atriale
- Flutter atrial
- Infection de pacemaker ou défibrillateur
- Mort subite
- Rétrécissement valvulaire aortique
- Syndrome de Wolf Parkinson White, réentrée intra nodale
- Tachycardie ventriculaire
- Ablation de fibrillation atriale
- Ablation de tachycardie ventriculaire
- Cardioversion électrique
- Défibrillateur
- Extraction de pacemaker ou défibrillateur

 

Allergie à l'ambroisie

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Allergie à l'ambroisie
La canicule aidant, les premiers pollens d’Ambroisie sont en avance en région Auvergne - Rhône-Alpes.

Les symptômes ressentis par les personnes allergiques sont également accentués par la pollution à l’ozone qui sévit actuellement.

Parmi les précautions à prendre :
- ne pas rouler avec des vitres ouvertes
- se rincer les cheveux le soir
- ne pas faire sécher le linge dehors
- ouvrir les fenêtres tôt le matin et tard le soir (la libération des pollens est effectivement plus intense à ce moememnt de la journée).

Services HCL :
- Centre Hospitalier Lyon Sud - Service de pneumologie aiguë spécialisée et cancérologie thoracique
- Hôpital de la Croix-Rousse - Service de pneumologie
- Hôpital Louis Pradel - Service de pneumologie
- Hôpital Femme-Mère-Enfant - Service de pneumologie, allergologie, mucoviscidose

En savoir plus sur l’asthme allergique

Mélanome : cet été attention au soleil

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Cet été, attention aux soleil qui peut causer des mélanomes
Le mélanome est généralement une conséquence d'un surexposition répétée au soleil mais aussi aux rayons ultra-violets artificiels (diffusés par les lampes à bronzer par exemple). C'est un cancer de la peau grave puisque la survenue de métastases peut être très rapide.

Le mélanome, qu'est-ce que c'est ?

Le mélanome est un cancer de la peau rare, mais dont le nombre de nouveau cas par an augmente le plus. Il s’agit en outre d’une des premières causes de cancer chez le sujet jeune (entre 25 et 35 ans). Il correspond à la multiplication anarchique de mélanocytes (cellules de la peau qui fabriquent la mélanine) devenus cancéreux. La tumeur reste le plus souvent localisée sur la peau. Lorsque le mélanome est pris en charge à un stade évolué, il peut atteindre d’autres organes et justifier d’un traitement par voie générale (en comprimés ou perfusion).

Le dépistage précoce, l’amélioration des moyens de diagnostic et les techniques thérapeutiques ont beaucoup évolué.

Quelles sont les causes et les facteurs de risque ?

  • Le soleil est la cause principale : plus on a eu de coups de soleil durant l'enfance, plus on est susceptible de développer un mélanome
  • Le phototype clair (défini par la clarté de la peau, la couleur des cheveux, et des yeux, sujet blonds ou roux avec des yeux claires et des taches de rousseur)
  • Le nombre de grain de beauté (>50)
  • La mauvaise aptitude au bronzage
  • Les facteurs génétiques (antécédents familiaux de mélanome),  
  • La baisse des défenses immunitaires

Comment reconnaître le mélanome ?

Le mélanome peut être diagnostiqué et reconnu par chaque individu qui a été sensibilisé au dépistage des grains de beauté. La règle de dépistage est simple à tel point qu’elle est enseignée à l’école primaire en Australie. Cette règle dite ABCDE consiste à analyser les lésions pigmentées (grain de beauté) selon 5 caractéristiques commençant par les premières lettres de l’alphabet.

Asymétrie (symétrie ou asymétrie)
Bordure (régulier ou irrégulier)
Couleur (une ou plusieurs couleurs)
Diamètre (< ou > 6 mm)
Evolution (forme, couleur, extension, saignement, démangeaison, etc…)
Forme bizzare (un grain de beauté qui ne ressemble pas aux autres) 
 

La présence de deux critères doit motiver un avis spécialisé, la présence de 3 critères impose le plus souvent l’exérèse de la lésion. Cette règle s’applique pour les grains de beauté plat et non en relief.

De manière générale, tout grain de beauté apparaissant sur la peau et s’étendant rapidement, doit motiver un avis auprès d’un dermatologue. Parfois le mélanome n’est pas pigmenté, il s’agit de mélanomes achromiques.

 

Règles à respecter pour limiter les risques de cancer de la peau

Il faire un usage raisonnable du soleil, en évitant de s'exposer aux heures les plus chaudes (entre 11 et 16 h), en utilisant des crèmes anti-solaires d'indices de protection supérieurs à 15, actives contre les UVA et les UVB et en renouvelant les applications toutes les 2 h minimum. La protection de la peau des enfants est fondamentale, et le port de t-shirts et de casquettes doit compléter l'action des crèmes protectrices.


Septembre en Or : unissons-nous face au cancer de l'enfant

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01 septembre 2018
30 septembre 2018
Hospices Civils de Lyon
Septembre en Or : l'Institut d'Hématologie et d'Oncologie Pédiatrique fête ses 10 ans
Septembre en Or, c'est un mois pour parler du cancer de l'enfant qui touche chaque année, en France, environ 2 550 enfants et adolescents. Mais les progrès, les essais cliniques, les innovations permettent de garder espoir et offrent une meilleure qualité de vie aux enfants. A l'occasion de Septembre en Or, l’Institut d'Hématologie et d’Oncologie Pédiatrique de Lyon (IHOPe) célèbre ses 10 ans d’activité. Cette structure unique en France est aujourd’hui l’un des plus grands centres pédiatriques d’Europe puisqu'il accueille chaque année environ 250 nouveaux patients.

L’Institut d'Hématologie et d'Oncologie Pédiatrique (IHOPe) développe trois missions : les soins, la recherche et l’enseignement.

« Sa spécificité, sa taille, sa forte activité et l’excellence de ses équipes ont aussi permis de nombreuses innovations dans les traitements, la recherche mais aussi la prise en charge globale des jeunes », notent les deux médecins à l’origine de la création de cet établissement : le Pr Yves Bertrand, pédiatre hématologue, et le Dr Christophe Bergeron, pédiatre oncologue. 

Septembre en or : l'IHOPe fête ses 10 ans

Son organisation se répartit sur deux sites : celui de l’Hôpital Femme Mère Enfant des HCL pour les consultations médicales et celui du Centre Léon Bérard pour la partie hospitalisation et radiothérapie. L’IHOPe a été retenu parmi les centres experts Réseau ERN* PaedCan pour les cancers rares pédiatriques. Il est à l’origine de nombreuses innovations en pédiatrie.

L’IHOPe prend en charge tous les cancers de l’enfant, de l’adolescent et du jeune adulte :

  • Tumeurs du système nerveux central
  • Lymphome
  • Tumeurs du système nerveux sympathique
  • Tumeurs rénales
  • Sarcomes des tissus mous et extra-osseux
  • Tumeurs malignes osseuses
  • Tumeurs germinales
  • Tumeurs hépatiques
  • Rétinoblastomes
  • Mélanomes malins
  • Leucémies

Il abrite 3 unités d’hospitalisation, avec 51 lits et places. Il y a 3 unités d’hospitalisation :

  • L'hôpital de jour (12 places),
  • L'hospitalisation conventionnelle (18 lits) et de semaine (6 lits),
  • L'Unitée protégée (15 lits).

Lors de Septembre en Or, rendez-vous sur Facebook et Twitter pour en apprendre plus sur les cancers de l'enfants, les soins de support proposés par l'IHOPe, les essais cliniques et les innovations mises en place pour aider les enfants à faire face à leur quotidien. 

*ERN = Réseaux de référence pour les maladies et cancers rares
(European Reference Networks)

Crédit photo :  @IHOPE

Le pavillon H a ouvert ses portes

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Le tout nouveau pavillon H de l’hôpital Edouard Herriot a ouvert ses portes le 4 septembre. Une centaine de professionnels a investi les lieux et les premiers patients ont été opérés. Luminosité, confort, les avis sont unanimes !

Les équipes de chirurgie digestive, ORL et urologique sont les premières à investir le bâtiment flambant neuf. La montée en charge de l’activité se fera de manière progressive, jusqu’à l’intégration des activités de chirurgie de l’hôpital d'Instruction des Armées Desgenettes, en novembre.

Claire, 62 ans, a été la première patiente a être opérée dans le nouveau pavillon. Un peu impressionnée par le monde au bloc opératoire en ce premier jour (des professionnels de santé et des techniciens étaient présents pour sécuriser chaque aspect de la prise en charge sur les premières interventions), elle a finalement été ravie d'ouvrir les yeux dans une chambre lumineuse et moderne avec à son chevet une équipe aux petits soins. La Directrice de l'hôpital, Valérie Durand-Roche, est venue saluer cette 1ère patiente historique, un bouquet de fleurs à la main.

 

La construction de cet imposant bâtiment moderne de 18 000 m2 constitue la pierre angulaire du projet de modernisation de l'Hôpital Edouard Herriot. La plupart des activités chirurgicales et d’imagerie jusque-là dispersées sur plusieurs pavillons est désormais regroupée sur un plateau technique unique avec des capacités d’accueil totalement rénovées :

  • 20 salles de bloc opératoire multidisciplinaires
  • 2 services de réanimation, médicale et chirurgicale
  • 1 service de chirurgie d’urgence
  • 1 plateau imposant de chirurgie ambulatoire
  • Et l’ensemble de l’imagerie d’urgence et interventionnelle

Pour aller plus loin : lire le dossier sur le projet de modernisation de l'hôpital Edouard Herriot

/!\  L'Hôpital Edouard Herriot recrute pour le pavillon H : IADE / infirmier anesthésisteIBODE / infirmier de bloc opératoire, ASD/ aide-soignant de bloc opératoire ​

Journées Européennes du Patrimoine aux HCL

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15 septembre 2018
Chapelle du Grand Hôtel Dieu
Journées européennes du patrimoine - visite de l'Hôpital Edouard Herriot des HCL
La Chapelle du Grand Hôtel Dieu vous ouvre ses portes à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine. La visite de l'hôpital Edouard Herriot annoncée dans les programmes est, elle, annulée pour des raisons indépendantes de notre volonté.

La Chapelle de l'Hôtel-Dieu vous ouvre ses portes

Découvrez la chapelle et sa restauration en cours, contemplez la chorégraphie de Jérôme Bel, vibrez avec le Choeur du Concert de l’HostelDieu, rencontrez les chercheurs de l’Inventaire du Patrimoine, laissez-vous guider par les regards des comédiens et des dessinateurs sur la chapelle, l’Hôtel-Dieu et la ville de Lyon, et emmenez vos enfants jouer dans le monde des métiers d’art. + d'infos

Chapelle de l’Hôtel-Dieu

Votre Santé : SAMU 69

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SAMU 69 reportage TLM
Découvrez le quotidien du SAMU 69 et du Centre 15, basés à l’hôpital Edouard Herriot avec l'émission "Votre Santé : l’innovation au cœur des hôpitaux lyonnais" en partenariat avec la Fondation HCL.

Au sommaire : 
- Le Pr Gueugniaud, chef du service, nous explique comment est structuré le SAMU lyonnais et comment s’articule le centre 15, qui reçoit plus de 600 000 appels par an. Quel type d’appel justifie l’intervention d’une équipe ? 

- Le Dr Dubien, chef de service du Pôle « URMARS », pour Urgences – Réanimation Médicale – Anesthésie-Réanimation du SAMU nous donne un aperçu de la diversité des urgences à gérer. Les assistants de régulation médicale prennent les appels et sont en charge de répartir les demandes vers le service adapté, en fonction de l’urgence de la situation. Leurs actions peuvent s’avérer déterminantes. 

- On nous parle des techniques d’exception pratiquées au SAMU 69 : l’hypnose chez l’enfant, expliquée par le Dr Raphael Distante ou encore la technique de circulation extra-corporelle dont nous parle le Dr David Pinero. 

Votre Santé : l’innovation au cœur des hôpitaux lyonnais est le magazine Santé de TLM, en partenariat avec la Fondation HCL
 

Prévention de la mort inattendue du nourrisson

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18 septembre 2018
Hopital Femme Mère Enfant
bébé
L'hôpital Femme-Mère-Enfant accueille des ateliers de prévention pour un couchage sans risque du nourrisson, destinés aux jeunes parents ainsi qu'aux professionnels de santé et de la petite enfance.

Manifestation ouverte au grand public, sans inscription préalable
De 9h à 17h, dans le grand hall de l'hôpital Femme-Mère-Enfant
Journée organisée par le Centre de référence de la mort inattendue du nourisson (CRMIN) de Lyon.

Le nombre de mort inattendue du nourrisson (MIN) a beaucoup baissé en France et dans la plupart des pays occidentaux depuis le début des années 1990 grâce aux campagnes de prévention. Mais ce nombre stagne en France. Nous pouvons mieux faire ! On dénombre encore 400 à 500 décès par an chez les enfants de moins de 1 an (soit environ 1 décès sur 1500 naissances). Les efforts de recherche se poursuivent pour mieux comprendre ce qui peut aboutir à ce drame. La dernière étude de l’INVS a montré que 100 à 150 de ces décès auraient pu être évités annuellement si les parents étaient mieux informés sur les conditions de couchage et d’environnement qui diminuent le risque d’accident au sommeil.

L'objectif de ces ateliers est de sensibiliser les jeunes parents, le grand public, les professionnels de santé et les professionnels de la petite enfance aux mesures de prévention permettant « d’éviter ce qui est évitable », en sachant très modestement que nous ne comprenons pas encore tout ce qui entraine une MIN et que tous les décès ne pourront pas être évités…

Journée de prévention de la mort inattendue du nourrisson à Lyon

C'est la rentrée, l'occasion de se remettre à bouger !

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C'est la rentrée ! L'occasion d'une remise en forme efficace et adaptée à votre rythme et à votre corps.

Pratiquer une activité physique 

Cette rentrée, vous voulez l’aborder du bon pied, en vous remettant au sport. Mais vous n’avez pas forcément pratiqué d’activité physique régulière ces derniers temps et vous avez peur de ne pas tenir le rythme ?

Le service de médecine du sport et de l’activité physique des Hospices Civils de Lyon est là pour vous aider ! Il propose des tests à l’effort sur vélo ou tapis roulant accompagnés de conseils adaptés à vos objectifs physiques. Le service propose également des visites de non contre-indication à la pratique d’une activité sportive et délivre des certificats médicaux. 

Objectif hydratation

La semaine de l'hydratation a été l'occasion de revenir sur les idées reçues concernant les boissons adaptées lors de la pratique sportive ou simplement au quotidien, pour une hydratation idéale ! 

Quelle est la différence entre boisson énergétique et boisson énergisante ?

Elles n'ont rien à voir et seule l'une des deux est adaptés à la pratique d'une activité physique. En résumé :

  • La boisson énergétique contient de l'eau, des minéraux, du sel, des vitamines et du sucre en quantité adaptée aux besoins des sportifs. Elle aide à l’apport d’énergie et à la récupération si elle est utilisée de façon adaptée lors de la pratique d'activité physique ou en période de récupération. Riche en sucre, elle est à consommer avec modération, uniquement dans le cadre d'une pratique sportive prolongée et intensive et est plutôt réservée aux adultes.
  • La boisson énergisante contient du sucre, de la caféine et d'autres ingrédients comme la taurine ou le glucuronolactone. Elle est gazeuse, acide et non hydratante. Elle n'a pas d’intérêt nutritionnel, pas d’influence sur l’énergie, la force, la mémoire ou encore la concentration. Elle est plutôt réservée aux jeunes adultes, en bonne santé avec une consommation occasionnelle et modérée (pas plus de 125ml par jour). Attention, il vaut mieux ne pas en consommer avant, pendant, ni après la pratique d'activité physique et il est même déconseillé de la mélanger à de l’alcool ! 

Eau VS soda :

Quelles sont les principales différences entre les deux ?

  • L'eau est non gazeuse, neutre, hydratante. Elle est idéale pour l'hydratation, à consommer tout au long de la journée, pendant les repas, lors de la pratique d'activité physique… Elle doit être présente sur le terrain, ne l'oubliez au vestiaire !
  • Le soda contient du sucre, de l’eau et des arômes, parfois de la caféine. Il est gazeux, acide et non hydratant. Il n'a aucun intérêt nutritionnel, pas d’influence sur l’énergie, la force, la concentration… Attention, très riche en sucre, il est à consommer avec modération de façon occasionnelle. Ne pas consommer avant, pendant, ni après la pratique d’activité physique.

 

 

 

Pass'âge : un espace dédié pour anticiper le passage à l'âge adulte

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Pass'âge : un espace dédié pour anticiper le passage à l'âge adulte
L’arrivée à l’adolescence est un tournant parfois difficile pour les jeunes patients atteints de maladies chroniques. Les Hospices Civils de Lyon s’engagent à les accompagner dans cette période de transition entre leur suivi pédiatrique et un suivi en service adulte avec un espace qui leur est dédié : le "Pass'âge".

Situé sur le plateau partagé de consultations médicales de l’Hôpital Femme Mère Enfant (au 1er étage de l’aile A1), il veut être un lieu accueillant et convivial pour mieux accompagner ces ados.

Depuis le 30 août, le « Pass’âge » est l'outil opérationnel de la transition, à la disposition de tous les médecins de pédiatrie.
Cet espace permet :

- D'effectuer des consultations conjointes entre la pédiatrie et le service adulte pour que le jeune patient rencontre son futur médecin

  • Ensemble dans un box de consultation
  • Ou grâce à un robot connecté

- De réaliser des bilans sportifs complets et de suivre des séances adaptées dans la salle de sport avec les coaches sportifs étudiants en Master 2 spécialisé à l'Université Lyon 1

- D’assister à des cours d’éducation thérapeutique adaptés à leurs problématiques

Pour améliorer l'adolescence des patients atteints de maladies chroniques, les possibilités et les applications sont vastes !

Pass'âge : un espace dédié pour anticiper le passage à l'âge adulte


Octobre Rose : Prévention et dépistage du cancer du sein

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Octobre Rose à Lyon
L'Institut de Cancérologie HCL se mobilise à l’occasion du mois de prévention et de sensibilisation au cancer du sein. Cette année, parmi les thèmes abordés, la question du retour au travail.

Médecins et patientes se proposent d’échanger autour de la question du retour au travail. pour accompagner les femmes dans cet autre combat.

Des stands d’information sur les hôpitaux

 Des médecins et professionnels du centre de cancérologie des HCLseront présents ainsi qu’un buste d’autopalpation, pour vous exercer et prendre des conseils :   

  • Mardi  9 octobre, de 11h à 14h au niveau du Relais H du bâtiment 3B du Centre Hospitalier Lyon-Sud
  • Mercredi 10 octobre, de 11h à 14h dans le hall d’entrée de l’HFME
  • Jeudi 11 octobre, de 11h à 14h dans le hall du bâtiment R de l’hôpital de la Croix-Rousse

Une conférence publique : "Allons plus loin pour vaincre le cancer"

Le 18 octobre de 18h00 à 20h30
A l’Hôtel de Région
Gratuit sur inscription au 04 72 11 53 62/63
Evénement facebook

L’accent est mis sur le retour à la vie active après la maladie :

  • Retour au travail après un cancer du sein 
  • Témoignage d’une patiente sur son retour au travail

D’autres thèmes seront également abordés :

  • Prise en charge des patientes âgées : dépassons nos limites. Pourquoi ? Comment ?
  • Mutations BRCA, du dépistage au traitement : des formes familiales aux solutions

 

Hôpital, ville et citoyenneté : expériences d’hier et d'aujourd’hui

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11 octobre 2018
12 octobre 2018
18 quai Claude Bernard, Lyon
information importante
Ce colloque international est organisé par la Société française d’histoire des hôpitaux (SFHH) avec le soutien de l’université Lumière Lyon 2 et les Hospices civils de Lyon.

Au programme : des séances plénières et des ateliers pour vous informer et partager des retours d’expériences

  • L’implantation hospitalière dans l’espace urbain
  • L’Hôpital dans la ville (XIIIe-XIXe siècles)
  • Hospitalisation et déshospitalisation
  • La révolution radiologique : conséquences sur les soins médicaux et l’organisation de l’hôpital pendant et après la Grande Guerre
  • Approches spatiales et politiques de l’hospitalisation
  • Le musée hospitalier dans la ville
  • Les politiques hospitalières et leurs impacts économique, politique, social et culturel

Programme

Jeudi 11 octobre 2018

9h00 – Mots de bienvenue

  • Daniel Moinard, ancien directeur général des Hospices Civils de Lyon, président du conseil d’administration de la Société française d’histoire des hôpitaux
  • Nathalie Dompnier, présidente de l’Université Lumière Lyon 2
  • Catherine Geindre, directrice générale des Hospices Civils de Lyon
  • René Mornex, président de l’association Patrimoine, Médecine, Santé

9h30 – Introduction du colloque

  • Yannick Marec, premier vice-président du conseil d’administration de la Société française d’histoire des hôpitaux, président du conseil scientifique
  • Jacques Poisat, vice-président du conseil scientifique

10h00 – Séance plénière : L’implantation hospitalière dans l’espace urbain

Présidents : Jean-Pierre Gutton, professeur d’histoire moderne émérite, Université Lumière Lyon 2, Institut universitaire de France ; Anne Pariente, directeur du service archéologique de la Ville de Lyon

  • L’hôpital et la Cité en Picardie aux XIIe-XVe siècles (Pascal Montaubin, maître de conférences en histoire médiévale, Université de Picardie –Jules Verne, Amiens)
  • Les chantiers hospitaliers à Laon du XVe au XVIIIe siècle. Une interaction avec les chantiers urbains et le monde des artisans (Jean-Christophe Dumain, assistant de conservation principal, Archives départementales de l’Aisne)

Discussion

11h15 – Séance plénière : L’implantation hospitalière dans l’espace urbain (suite)

  • Hors et dans la ville : l’emprise de l’Hôtel-Dieu de Lyon, des origines au XIXe siècle (Cyrille Ducourthial, service archéologique de la ville de Lyon)
  • Un hôpital dans la ville de Lyon. Évolution de l’Hôtel-Dieu depuis la fi n du Moyen Âge au regard de l’archéologie (Stéphane Ardouin, service archéologique de la ville de Lyon & Olivia Puel, docteure en archéologie médiévale)
  • Les cimetières de l’Hôtel-Dieu de Lyon : apport des sources archéo-anthropologiques à l’histoire hospitalière (Isabelle Bouchez, Emma Bouvard-Mor, Arnaud TastavinCamille Vanhove, archéo-anthropologues, Service archéologique de la Ville de Lyon)

Discussion

13h00 – Déjeuner

14h30 : Ateliers

Atelier 1 : L’Hôpital dans la ville (XIIIe-XIXe siècles)

Présidente : Marie-Claude Dinet-Lecomte, maître de conférences HDR en histoire moderne honoraire, Université de Picardie

Rapporteur : Jacques Brunier, vice-président exécutif de la Société française d’histoire des hôpitaux

  • La « municipalisation » des hôpitaux : un enjeu de pouvoir dans la cité sous l’Ancien Régime (Marie-Claude Dinet-Lecomte, maître de conférences HDR honoraire, Université de Picardie)
  • Cité épiscopale et hôpital sous l’Ancien Régime : le cas de Dax (Jean Morlaes, docteur en histoire moderne, CEMMC Bordeaux-Montaigne)
  • L’apprentissage et le travail des enfants dans les hôpitaux généraux du Nord au XVIIIe siècle (Olivier Ryckebusch, docteur en histoire moderne, Université de Lille III, laboratoire IRHiS)
  • L’hôpital à Bologne au XIXe siècle : de la cité médiévale aux collines de la ville (Elena Musiani, docteure en histoire contemporaine, chargée de recherche, Université de Bologne)

Atelier 2 : Hospitalisation et déshospitalisation

Présidente : Isabelle von Bueltzingsloewen, professeure d’histoire contemporaine, vice-présidente en charge de la recherche et des études doctorales, Université Lumière Lyon 2

Rapporteur : Yannick Marec, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Rouen Normandie, président du conseil scientifique de la Société française d’histoire des hôpitaux

  • Une ville dans la ville : de l’asile départemental au nouvel hôpital de Navarre (1866-2018) (Antony Kitts, docteur en histoire contemporaine, GRHIS, université de Rouen Normandie)
  • La clinique psychiatrique départementale d’Esquermes : une initiative pionnière de prise en charge des troubles mentaux en milieu urbain (Marie Derrien, maîtresse de conférences, Université de Lille- UMR 8529 IRHiS)
  • L’Hôpital Montfort. Espace de soins psychiatriques, de soutien et d’assistance à la communauté francophone de la ville d’Ottawa (Sandra Harrisson, professeure au département des Sciences Infi rmières, Université du Québec à Trois-Rivières & Marie-Claude Thifault, professeure à la Faculté des sciences de la santé de l’Université d’Ottawa, titulaire de la chaire de recherche sur la francophonie canadienne en santé)
  • Naissance et mutations d’une ville-hôpital : l’exemple de Villejuif (Eric Kocher-Marboeuf, maître de conférences en histoire contemporaine, Université de Poitiers, CRIHAM)
  • 16h30 – Restitution des ateliers et discussions

Vendredi 12 octobre 2018

Président : Daniel Moinard, président du conseil d’administration de la Société française d’histoire des hôpitaux

09h00 : Conférence introductive

  • La révolution radiologique : conséquences sur les soins médicaux et l’organisation de l’hôpital pendant et après la Grande Guerre (Michel Amiel, professeur émérite, Université Claude Bernard, Lyon I, radiologiste honoraire des Hospices Civils de Lyon & René Hénane, médecin général inspecteur, Service de santé des Armées)

Discussion

09h45 : Ateliers

Atelier 1 : Approches spatiales et politiques de l’hospitalisation

Président : Frédéric Martineau, administrateur de la Société française d’histoire des hôpitaux

Rapporteur : Gérard Desborde, administrateur de la Société française d’histoire des hôpitaux

  • Mutations historiques et impact spatial de l’institution hospitalière en Tunisie. Le cas de Aziza Othmana, l’hôpital le plus ancien de l’agglomération tunisoise (Najet Hamzaoui Oueslati, enseignant-chercheur de géographie urbaine, Université de Tunis)
  • L’AP-HP et la banlieue parisienne : l’hôpital Beaujon à Clichy hier, aujourd’hui et demain (Marie Gaimard, docteure en histoire de l’art, Écoles nationales supérieures d’architecture Paris-la Villette et Normandie, laboratoire ATE-Normandie & Lila Bonneau, architecte, spécialisée en architecture et patrimoine − thèse en cours : « Anamnèse et devenir de l’architecture thérapeutique du XXe siècle » (Hôpitaux Universitaires Paris Nord Val-de-Seine)
  • L’hôpital de Montmorillon et la régulation : symbolisme, organisation et politique du XVIIIe siècle à nos jours (Julien Gaillard, doctorant au CRIHAM, Université de Poitiers)

Atelier 2 : Le musée hospitalier dans la ville

Président : Jacques Poisat, maître de conférences en économie, Université de Saint-Étienne, vice-président du conseil scientifique de la Société française d’histoire des hôpitaux

Rapporteur : Hélène Servant, conservateur général du patrimoine, chef du Département des patrimoines culturels, Assistance Publique-Hôpitaux de Paris

  • Les musées hospitaliers au XXIe siècle. L’exemple du musée des Hospices Civils de Lyon 2014-2018 (Sergueï Piotrovitch d’Orlik, conservateur du musée des HCL)
  • Le patrimoine hospitalier lillois, réflexion culturelle au coeur d’un territoire au service des citoyens (Patrick Kemp, chargé du patrimoine à la délégation culturelle du CHU de Lille, président fondateur de l’Association du Musée hospitalier régional de Lille)
  • Le musée Flaubert et d’Histoire de la médecine, un musée à double vocation, original et atypique (Sophie Demoy, attachée d’administration hospitalière, responsable du musée Flaubert et d’Histoire de la médecine, CHU de Rouen)
  • Le renouveau du musée de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (Camille Perez, conservateur du patrimoine, musée de l’AP-HP)

11h30 : Restitution des ateliers et discussions

 

14h15 : Séance plénière : Les politiques hospitalières et leurs impacts économique, politique, social et culturel

Présidents :

Jacques Poisat, maître de conférences en économie, Université de Saint-Étienne, vice-président du conseil scientifique de la Société française d’histoire des hôpitaux

Jean-Pierre Bernard, directeur général adjoint des Hospices Civils de Lyon

  • Hôpital colonial et prosélytisme médical dans le protectorat tunisien (1881-1956) (Sofiane Bouhdiba, professeur de démographie, faculté des Sciences humaines et sociales de Tunis)
  • L’abandon du projet d’hôpital de pneumologie de Fresnicourt-le-Dolmen (Philippe Roger, maître de conférences d’histoire contemporaine, université de Lille)
  • Patrimoine hospitalier, quelle responsabilité ! (Alain Benini, architecte à la direction des affaires techniques des Hospices Civils de Lyon)
  • Quel rôle économique jouent les CHU sur leur territoire ? (Cécile Jaglin-Grimonprez, directrice générale du CHU d’Angers)

Discussion

17h00 : Clôture des journées

  • Conclusion : Francis Démier, professeur d’histoire contemporaine émérite, Université de Paris Nanterre
  • Remerciements : Daniel Moinard, président de la Société française d’histoire des hôpitaux

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Conférence sur la médecine personnalisée

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11 octobre 2018
11 octobre 2018
Faculté de médecine et de Maïeutique Lyon Sud - Charles Mérieux – Amphithéâtre Boiron
Conférence médecine personnalisée
Cette conférence grand public "Médecine pour chacun ou médecine pour tous, faut-il choisir ?" abordera le thème de la médecine personnalisée le Jeudi 11 octobre, de 18h00 à 19h00 à la Faculté de médecine et de Maïeutique du Centre Hospitalier Lyon Sud.

Au programme :

→ Présentation de la médecine personnalisée. Est-ce une nouvelle discipline médicale ?

Quelles sont les conditions qui ont présidé à son émergence ?
Marc BILLAUD, directeur de recherche CNRS

→ La médecine personnalisée expliquée de manière concrète :

l’exemple des succès dans le traitement des mélanomes
Pr Stéphane DALLE, chef de service de dermatologie, Centre Hospitalier Lyon Sud

→ Les limites de l’approche personnalisée en médecine : 

Dr Pierre SUJOBERT, chef de service adjoint d’hématologie biologique, Centre Hospitalier Lyon Sud

Rendez-vous le Jeudi 11 octobre, de 18h00 à 19h00 à la Faculté de médecine et de Maïeutique du Centre Hospitalier Lyon Sud - Charles Mérieux – Amphithéâtre Boiron, 165 chemin du Petit Revoyet, Oullins.

Semaine bleue : les HCL vont à la rencontre des personnes âgées

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Semaine bleue : les HCL à la rencontre des personnes âgées
La semaine bleue vise à informer et sensibiliser les citoyens sur la contribution des personnes âgées à la vie économique, sociale et culturelle, et sur les difficultés auxquelles elles sont confrontées.

L’hôpital de jour « prévention de la perte de mobilité 

« Au cours du vieillissement, on enregistre une perte progressive de la force et de la fonction musculaire. Cette évolution peut avoir des conséquences sur les personnes âgées : difficultés à se lever d’un siège ou à monter un escalier, troubles de l’équilibre, peur de tomber ou chutes, ralentissement à la marche, difficulté à faire ses courses, grande fatigue, perte de poids involontaire. » explique le Pr Marc Bonnefoy, chef de service de médecine du vieillissement au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, à l’origine de la création de l’hôpital de jour. « Ces signes sont précurseurs de la perte de mobilité, et donc de la dépendance de la personne âgée d’ici les 3 prochaines années. Ils ne doivent en aucun cas être banalisés ». ajoute le Pr Marc Bonnefoy.

L’hôpital de jour « prévention de la perte de mobilité » s’adresse aux personnes de plus de 70 ans présentant les symptômes expliqués ci-dessus. Durant la consultation, un test simple (marche, équilibre, levée de fauteuil) est effectué pour évaluer le degré de fragilité de la personne âgée. Selon le résultat, des conseils diététiques sont recommandés ainsi que des exercices de renforcement musculaire doux et adéquats, à réaliser 2 fois par semaine chez soi. Des séances d’activités physiques collectives sont également proposées. Trois mois après, les patients sont réévalués.

Des résultats prometteurs

Depuis sa création en 2015, près de 500 patients ont déjà été pris en charge. Dans 40 % des cas1 , leur qualité de vie est améliorée grâce à de meilleures performances à l’épreuve (vitesse de marche, aptitude à se lever d’un siège, équilibre). « Les cours collectifs d’activité physique sont très agréables, complets et adaptés à nos âges. Ils m’ont redonné confiance en moi et en mes capacités, même à 81 ans ! » témoigne Jacqueline. Lors du dernier sondage interne2 77 % des personnes suivies jugeaient le programme « excellent » et 23 % « bon ». Cet hôpital de jour de prévention, simple, sans examen invasif permet des résultats encourageants et durables dans le temps, si l’activité physique et les recommandations diététiques sont maintenues. En prévenant le risque de dépendance dès les premiers signes, la mobilité et la qualité de vie des personnes âgées sont améliorées pour favoriser leur maintien à domicile, le plus longtemps possible.

Rencontres avec l’équipe de l’hôpital de jour

  • Mardi 9 octobre de 10h à 12h : conférence grand public Centre Hospitalier Lyon Sud– Bâtiment 4E Michel Perret – Salle d’animations
  • Mercredi 10 octobre matin : Bus Info Santé Grand Lyon métropole Marché de Saint-Genis-Laval, place Mathieu Jaboulay
  • Jeudi 11 octobre matin : Bus Info Santé Grand Lyon métropole Marché d’Oullins, places Henri Barbusse et Jean Jaurès
  • Vendredi 12 octobre matin : Bus Info Santé Grand Lyon métropole Marché de Givors, autour de la mairie
  • Lundi 22 octobre de 10h à 12h : conférence grand public Saint-Genis-Laval, salle municipale Saliste, Médiathèque B612

Focus : l’Institut du vieillissement (I-Vie)

Le service de médecine du vieillissement du Centre Hospitalier Lyon Sud-HCL est membre de l’Institut du Vieillissement des Hospices Civils de Lyon. L’I-Vie a pour vocation d’adapter les services des HCL aux enjeux du vieillissement. Il poursuit deux objectifs majeurs : repousser la dépendance et améliorer l’offre et le parcours de soins dédiés aux personnes âgées. Son offre est inédite en France du fait de l’imbrication des missions de soins, de recherche et de formation mais aussi de la qualité de ses expertises et de l’ampleur de ses capacités d’accueil idéalement réparties sur le territoire.

Votre Santé : chirurgie vasculaire

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TLM - chirurgie vasculaire à l'hôpital Louis Pradel
Découvrez le service de chirurgie vasculaire et endovasculaire de l’hôpital Louis Pradel, qui nous ouvre les portes de sa toute nouvelle salle hybride, avec l'émission "Votre Santé : l’innovation au cœur des hôpitaux lyonnais" en partenariat avec la Fondation HCL.

Au programme dans ce TLM :

- Le Pr Antoine Millon nous présente le service de chirurgie vasculaire et endovasculaire (dont léquipe travaille à la fois à l'Hôpital Louis Pradel et à l'Hôpital Edouard Herriot) ainsi que ce qui est pris en charge : les vaisseaux, les artères, les veines. Les anévrismes et chirurgies de l'aorte sont également pris en charge. il nous présente notamment des prothèses qui sont fabriquées sur l'anatomie de chaque patient et qui visent à maintenir les artères perméables comme les artères du cerveau, du tube digestif ou du rein.

- Le Dr Mathieu Arsicot nous présente la toute nouvelle salle hybride, qui permet de pratiquer de la chirurgie conventionnelle ainsi que de la chirurgie vasculaire. L'avantageréside dans le fait de pouvoir combiner l'imagerie interventionnelle dans une salle de bloc opératoire, avec la sécurité d'un bloc opératoire. Il s'agit parfois de chirurgies lourdes, combinées à un geste de chirurgie endovasculaire et qui donne la possibilité à plusieurs chirurgiens d'opérer en même temps.

- Le Dr Nellie Della Schiava nous présente les avancées en chirurgies vasculaire : du pontage, autrefois utilisé en chirurgie, au fil-guide, qui permet de cathétériser l'artère pour pouvoir passer des stents.

- Enfin, un patient opéré d'un anévrisme de l'aorte principale nous explique qu'il a pu bénéficier d'une endoprothèse sur-mesure dans le but d'alimenter ses organes.

Votre Santé : l’innovation au cœur des hôpitaux lyonnais est le magazine Santé de TLM, en partenariat avec la Fondation HCL

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